3 novembre 2007
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mathématique, humaniste et révolutionnaire
Dans la collection Mémoire : Bruno ALBERRO, nous fait découvrir la vie de ce révolutionnaire des mathémathiques .
Evariste GALOIS, sort dans quelques jours aux éditions Elan Sud et accompagnera Bruno ALBERRO au JAPON.
Il sera mis en scène par Keiko Yokota, interprétation Olivier Garcia (théâtre du Sablier Orange) et en co-production avec le Black TentTheater de Tokyo
Ce génie des mathématiques a également le génie... de se mettre dans les ennuis ! Républicain activiste, il connaît la prison. Amoureux dupé, il accepte un duel alors qu'il est myope... Sa vie s'arrête à 20 ans. Ses travaux, eux, n'ont pas fini d'impressionner.
Dans la Gazette des tribunaux datée du 7 juin 1832, le procès-verbal de l'autopsie de Galois, décédé le 31 mai 1832 à l'hôpital Cochin, à Paris, dit que le « jeune Evariste Galois, âgé de 21 ans, bon mathématicien, connu surtout par son imagination ardente, vient de succomber en 12 heures à une péritonite suraiguë, déterminée par une balle tirée à 25 pas. » La fin du texte précise même que « 6 onces de sang étaient épanchées dans le petit bassin, des adhérences unissaient déjà les intestins au péritoine qui était pointillé de rouge ». Voilà qui rappelle les derniers vers du Dormeur du val : « [...] Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine / Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. » Ce rapprochement n'est pas anodin car Galois est aux mathématiques ce que Rimbaud est à la...
En 1746, d'Alembert démontre le théorème fondamental de l'algèbre.
Gauss, en 1799, critique cette démonstration et en donne une version complète. Vandermonde, Lagrange, Gauss, Ruffini et Cauchy établissent des résultats sur certaines équations algébriques.
Abel et surtout Galois (1830) apportent une réponse au problème de la résolution des équations algébriques.
Dans la Gazette des tribunaux datée du 7 juin 1832, le procès-verbal de l'autopsie de Galois, décédé le 31 mai 1832 à l'hôpital Cochin, à Paris, dit que le « jeune Evariste Galois, âgé de 21 ans, bon mathématicien, connu surtout par son imagination ardente, vient de succomber en 12 heures à une péritonite suraiguë, déterminée par une balle tirée à 25 pas. » La fin du texte précise même que « 6 onces de sang étaient épanchées dans le petit bassin, des adhérences unissaient déjà les intestins au péritoine qui était pointillé de rouge ». Voilà qui rappelle les derniers vers du Dormeur du val : « [...] Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine / Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. » Ce rapprochement n'est pas anodin car Galois est aux mathématiques ce que Rimbaud est à la...
En 1746, d'Alembert démontre le théorème fondamental de l'algèbre.
Gauss, en 1799, critique cette démonstration et en donne une version complète. Vandermonde, Lagrange, Gauss, Ruffini et Cauchy établissent des résultats sur certaines équations algébriques.
Abel et surtout Galois (1830) apportent une réponse au problème de la résolution des équations algébriques.
Dans la collection Mémoire : Bruno ALBERRO, nous fait découvrir la vie de ce révolutionnaire des mathémathiques .
Evariste GALOIS, sort dans quelques jours aux éditions Elan Sud et accompagnera Bruno ALBERRO au JAPON.
Il sera mis en scène par Keiko Yokota, interprétation Olivier Garcia (théâtre du Sablier Orange) et en co-production avec le Black TentTheater de Tokyo