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  • : Maison d'édition Elan Sud, littérature générale, à Orange (84). Ses auteurs et leurs romans. Parutions, articles, interviews, commentaires. Actualité des salons du livre, rencontres avec le public. Site d'échange littéraire. Organisation du concours de manuscrits : Prix première chance à l'écriture
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Bonjour à tous,

J'ai ouvert ce blog pour vous permettre de réagir aux lectures de nos ouvrages. Les auteurs vous répondront avec plaisir en fonction de leur emploi du temps, laissez-leur un commentaire.

Un calendrier pour retrouver les auteurs, un Blog pour prolonger une conversation…

Un Prix Littéraire pour donner "Une Première Chance à l'Écriture" (un contrat d'édition à la clé)
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Corinne, responsable d'édition
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Salon de l'édition indépendante à Orange (84)
  le site L'Antre des Livres - renseignements : e-l-u@orange.fr
6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 09:25
Vendredi  16 novembre 2007 à 20h30  Lycée de l’Arc (salle polyvalente) 84100 ORANGE
Conférence AGORA
Vendredi 16 novembre à 20h30 au Lycée de l'Arc (Orange) Agora célébrera, avec un petit peu d'avance sur le calendirer, le centième anniversaire de la naissance de Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) en recevant un excellent connaisseur du grand phénoménologue français : Ronald Bonan, chargé de cours à l'Université de Provence et de formation à l'IUFM d'Aix-Marseille. Sa conférence - qu'il préfère appeler causerie - présentera  ce qu'il considère comme le  point central de la pensée de Merleau-Ponty, à savoir l'être-ensemble comme dimension constitutive du sujet humain.et en explorera quelques conséquences philosophiques. Que vous connaissiez ou non l'oeuvre de Merleau-Ponty, n'hésitez pas à venir participer à cette grande soirée philosophique.
 Merci de votre fidélité. Bien cordialement,Serge Tziboulsky

Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) :
Philosophe français. Il  fonde après guerre avec Sartre  la revue Les Temps Modernes, que les excès du stalinisme le conduisent à quitter en 1955. A partir de la double influence de la phénoménologie et de l’existentialisme, il crée une philosophie originale qui insiste sur la présence du corps au monde, le dialogue avec le monde et avec les autres. Son humanisme, forgé dans la discussion entre le marxisme et l’existentialisme, l’éloigne autant du libéralisme que du totalitarisme.
Œuvres principales : Phénoménologie de la perception(1945), Humanisme et terreur(1947), Sens et non-sens(1948), Les aventures de la dialectique(1955), Signes(1960), L’œil et l’esprit(1964), Le visible et l’invisible(1964), La prose du monde(1969).

----------------
Ronald Bonan, chargé de cours à l’Université de Provence et de formation à l’IUFM d’Aix-Marseille, mène depuis quelques années une recherche à la croisée des perspectives phénoménologique et esthétique, dans laquelle il cherche à surprendre le surgissement des significations dans l’expérience sensible. En ce sens il ne pouvait qu’être emporté par le regard de Merleau-Ponty qui a fait de la philosophie une forme de réflexion de la chair du monde, dont la pratique peut se prolonger de bien des façons, y compris dans la fiction.
A  publié notamment : Premières leçons sur l'esthétique de Merleau-Ponty, Paris, PUF, 1997 ;  Le problème de  l’intersubjectivité  dans  la philosophie de Merleau-Ponty. La dimension commune I - L’institution  intersubjective  comme poétique  générale. La dimension commune II, Paris, L’Harmattan, 2002 ; Merleau-Ponty,  
 La prose du monde,  La perception d’autrui et le dialogue, Paris, Ellipses, 2002 ; Merleau-Ponty, de la  perception
  à l’action, Presses Universitaires  de Provence, 2005 ; Pourquoi se méfier des apparences ? Lyon, Aléas, 2007.
Sa conférence : Le primat de la relation entre les sujets dans la pensée de Merleau-Ponty a, sur les structures de la pensée et de l’action, des conséquences qui n’ont pas fini d’être élucidées. C’est à certaines d’entre elles que sera consacrée cette  causerie,  dans laquelle, loin de toute considération systématique, on tentera de détailler quelques figures de cet « être-ensemble » qui brillent d’une lumière particulière au moment où l’on s’apprête à célébrer le centenaire de la naissance du grand phénoménologue français.

  
Entrée : 3 € - étudiants, lycéens, chômeurs : 1,50 € - adhérents : entrée gratuite.
Agora- 26 rue Reine Wilhelmine 84100 Orange/ 04.90.51.71.18/ agorange2@ wanadoo.fr

                     

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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 12:23
Amoureux-euse de littérature et de philosophie, d'histoire littéraire, d'histoire politique et d'histoire du mouvement des idées, notamment sous la Troisème République,  l'info suivante vous concerne :
  
Vendredi 9 novembre à 20h30
salle polyvalente du Lycée de l'Arc  (Orange)


 à l'invitation du Café littéraire

Alain Niderst (*) donnera une conférence sur

"Jules Romains : promesse et déboires de l'unanimisme radical-socialiste
(particulièrement dans Les Hommes de bonne volonté)"

Entrée libre, dans la limite des places disponibles

 (*) professeur émérite de littérature française du XVIIème siècle à l'Université de Rouen et président d'honneur du Mouvement Corneille, Alain Niderst s'intéresse aussi au Siècle des Lumières (notamment à Fontenelle et à la philosophie clandestine du XVIIIème siècle) : celles et ceux qui ont participé l'an dernier à la journée du 9 décembre sur les Lumières se souviennent de sa  conférence : Les Lumières : mort ou transfiguration ?, dans laquelle il était déjà question de Jules Romains et des Hommes de bonne volonté (un compte rendu de cette conférence et de celle de Michel Delon : Les Lumières aujourd'hui. L'universel et le particulier, figure sur le site www.agorange.net ).
Serge Tziboulsky

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29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 09:21
Je m’interroge… Pourquoi nos voisins algériens veulent-ils à toutes forces rejoindre l’ancienne puissance colonisatrice qui ne leur a pourtant pas  laissé que de bons souvenirs…  et qu’ils détestent souvent  encore avec ardeur ?

La réponse est dans la littérature, dans une merveille de livre que l’on a sous la main, mais qu’on ne pense pas à ouvrir, à savoir ici :

«  L’escargot entêté », de Rachid Boudjedra.

L’escargot entêté,  c’est l’histoire d’un mec  fêlé,  maniaco- dépressif solitaire.
Gris au-dehors, gris au-dedans, il est chef  bureaucrate  d’un service clef dans une ville  chaotique qui se surpopule à grande vitesse.
Elle déclive, cette ville,  depuis des  collines en garrigues  jusqu’à la mer, possède un cimetière et deux ports, avec Kasbah et oueds, c’est  qu’on est à Alger.
Mais, surprise,  pas au soleil. Il pleut à verse tout au long de cinq journées  fatidiques.
Un drame se noue : le type est  acculé par un escargot qui le traque…Qui vaincra ?
Le bureaucrate est chargé de l’extermination des rats de la ville, cinq millions, auxquels il voue un certain amour tendre bien qu’assassin.
Dans son immense solitude mouillée, le bureaucrate pense. Ses pensées, il les note sur de petits papiers. Ses papiers, il les garde dans des poches secrètes qu’il coud dans ses vêtements, vingt exactement, plus une, qui ensevelit ses émotions. Quant-à tout ce qui pourrait ressembler à une opinion politique, il n’est même pas question de papier, ça vaut mieux.
Vous êtes  une douzaine d’années après l’indépendance et Alger   tente de faire face à son développement maghrébo- soviétique. Ça ne va pas fort.
Qui l’emportera ? La logique labyrinthique et socialiste  des rats ou celle  de la raison, spiralo-vertigineuse mais  humaine, de l’escargot ?
Voilà le drame,  il rend fou.
Le maniaque bureaucrate est encore un peu lucide. Sa folie (celle du pays ?) il la voit ainsi :
« Cadastre verglacé de l’imaginaire. Levures aigrelettes des bruns et des bistres…Chuintement de syllabes muettes qui retombent dans  mon crâne comme une  neige molle. »
Sur  l’’escargot,  le féroce poursuivant, je ne vous dirai rien, allez vous-même découvrir cette bête énigmatique et redoutée ! Ni sur les rats, héros de la fête, métaphore d’une  masse  anonyme qui n’a plus d’émotions ni d’espoirs.

Le roman  est écrit en phrases tac tac tac, avec une flopée d’habiletés d’écriture diablement efficaces, du rythme, un humour au vitriol,  un découpage dramatique en journées vides et denses. Cent cinquante pages de régal poilant et féroce.
Rachid Boudjedra est né en 1941. Blessé pendant la guerre de libération, il voyage pour représenter le FLN. Après l’indépendance en 1962,   il se consacre à l’enseignement de la  philo. Mais le Président Boumediene, Lénine saharien, ne lui plait  guère. Exilé, re-renté, il enseigne  à Sciences Po- Alger et est membre, ce qui est fort  courageux,  de la Ligue des Droits de l’Homme.

Rachid Boudjedra aime le Français, il écrit en Français. Rachid Boudjedra aime aussi l’Arabe et, après 1982, il écrit en Arabe, dont on oublie un peu trop,  en ces temps troublés, que, dans sa version littéraire, l’Arabe est une des langues les plus riches qui soit. Ainsi donc, Rachid Boudjedra nous fait le cadeau  d’une littérature forte  en deux langues superbes.
Forte et éclairante…  sur les raisons d’un échec patent qui pousse aujourd’hui tant de jeunes à l’exile désespéré.
Cruel miroir, que cet escargot !

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22 octobre 2007 1 22 /10 /octobre /2007 17:46
Ces petites merveilles de livres que l’on a sous la main et qu’on ne pense pas à ouvrir.
Alors j'ai lu pour vous et vous invite à lire:

Lolita, de Vladimir Nabokov - Folio

C’est l’histoire, en 1943,  d’une môme de  douze ans, moitié fillette moitié femme, une nymphette.
Elle a un mec. Bien mûr, la quarantaine tassée. C’est son beau-père, pas tout-à-fait par hasard. La mère a été…effacée dans un accident très accidentel.
La nymphette, c’est Lolita. Elle n’est pas amoureuse du vieux, elle n’apprécie pas outre mesure  les câlins avec lui, bâille pendant. Mais bon, il a des sous pour ses caprices et elle lui rend la monnaie.
Douze ans d’accord, mais pas vraiment innocente la môme ! 
Les voilà à faire les motels dans des road movies à travers les USA  avec une pause dans une ville morte où Lolita fréquente provisoirement  un mignon  collège pour jeunes filles à marier.
Ah pauvrette asservie par un mâle, pensez-vous ?
Eh non ! Certes, pépère est pervers, mais il ne maîtrise rien. C’est Lolita la patronne et puis d’ailleurs, paf, elle en a marre, elle s’évapore, avec  le théâtreux gominé du collège qui lui a tourné la tête et les sens, lui.
Le beau-père, vacille, cherche la petite, un révolver dans la poche. Sa perception du réel se floute…Il la retrouve, mariée à seize ans, lourdement enceinte, fauchée rase,  dans une baraque où elle espère, avec son mécano de mari, un hypothétique départ pour l’Alaska.
Le vieux sort son révolver et…
Et alors ?  Allez voir !
Si vous cherchez cochon, vous serez déçu. Rien de grivois là-dedans bien que terriblement sensuel.
Par contre, vous serez  séduit par la superbe description d’une «âââme » tordue (lui) et d’une «âââme » innocente (elle). Ou le contraire. Ou les deux. Jusqu’au drame final.  Pour elle ? Pour lui ? Vous verrez bien. Des personnages secondaires massifs et colorés, bornent le chemin  zigzagant de cette liaison sulfureuse…
Nabokov, né en 1899 à Saint Pétersbourg, est mêlé par son père à la  révolution russe, côté démocrate  donc pas longtemps, donc exilé. Vladimir fait ses classes à Cambridge, puis vit  à Berlin, à Londres, à Paris. Il écrit en russe et en  anglais,  s’installe aux Etats-Unis en 1940. Il suscite vite l’intérêt, devient un auteur reconnu.  Couvert de gloire,  il finit sa vie en Suisse, à 72 ans.
Lolita  est son plus célèbre roman,  un livre charnel, délirant,  aux multiples rebondissements, du grand art  d’écriture, avec une habileté des mots et de la langue, des  flèches lancées dans des miroirs multiples où on ne voit  bientôt plus que les reflets  de reflets.
Lolita, c’est diabolique et beau.
Scandaleux ? Impossible ? Pas si sûr. Récemment, quelque part en Europe, une jeune fille « séquestrée »  (on va dire comme ça)  est sortie lisse,  propre et cultivée de plusieurs années de « prison » (on va encore dire comme ça), tendron rose d’abord,  puis jouvencelle, puis femme.  Sa «  fuite »  (on va toujours dire comme ça) avait poussé son  geôlier épris au suicide. Elle a fait un tour charmant sous les caméras et a disparu, mignonne à croquer, très plainte...En 2006.
Alors,  intemporelle, Lolita ?

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 07:00
Les conférences AGORA — Cycle de conférences 2007-2008
Vendredi  19 octobre 2007 à 20h30 -Lycée de l’Arc (salle polyvalente) ORANGE(84)

Catherine Malabou :
Enseigne la philosophie à l’Université de Paris X – Nanterre. Elle a publié :
L'Avenir de Hegel (Vrin, 1996),
Plasticité (Leo Scheer 1999),
avec Jacques Derrida, La Contre-allée (La Quinzaine littéraire-Louis Vuitton, 1999),
Le Change Heidegger (Léo Scheer, 2004),
 Que faire de notre cerveau ? (Bayard 2004)
Les Nouveaux blessés. De Freud à la neurologie : penser les traumatismes contemporains. (Bayard, 2007)
Elle travaille autour du concept de "plasticité" qu'elle a d'abord étudié dans
la philosophie classique et qu'elle explore désormais dans ses significations
scientifiques, notamment dans le domaine de la neurobiologie.
Sa conférence :

   En quoi la souffrance cérébrale permet-elle aujourd’hui de transformer la psychopathologie ? Comment envisager le dialogue entre neurologie et psychanalyse ? On partira, pour engager l’examen de cette question, de la transformation que la maladie cérébrale fait subir à l’identité du sujet. Comment penser cette plasticité destructrice ? Que fait-elle apparaître ?

Après sa conférence Catherine Malabou signera son ouvrage  Les Nouveaux
blessés. De Freud à la neurologie : penser les traumatismes contemporains.
Entrée : 3 € - étudiants, lycéens, chômeurs : 1,50 € - adhérents : entrée gratuite.

 Serge Tziboulsky

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12 octobre 2007 5 12 /10 /octobre /2007 08:59

 
parenthese.jpgUn soir, le printemps, allongée, comme chaque soir, face au cahier que je remplis depuis tant et tant d'années, les mots s'imposent. Tombe sur les pages, alors, le personnage de cette femme qui cherche à consigner la mémoire perdue de son histoire d'amour.
A petits pas soudain, apparaît Amédée. Celui qui sait. Celui qui justement est appelé "à m'aider". Ange gardien, vieux sage, ou compagnon rêvé, qu'importe. Il est là pour offrir un peu de lumière à celle qui s'égare de souvenirs en regrets.
Plus tard. Quelques mois plus tard. Je donne à lire ce court roman à une éditrice.
Plus tard. Encore plus tard, La Parenthèse des anges est devenue un livre. D'autres mains le feuillettent. D'autres regards le jugent.
Et moi je cherche à comprendre ce que j'ai voulu dire ainsi. Dire la douleur de la perte, dire celle, immense, de la négation.
Mais dire surtout le bonheur en toute chose possible.
Dire la vie, infime, calfeutrée dans les recoins du quotidien.
Dire l'urgence de reconnaître l'importance de ces moments auxquels on ne prête guère attention.
Dire combien aimer est difficile.
Dire combien pourtant tout est là, à portée de coeur.


 “Il paraît que l’oubli des souffrances est une parenthèse accordée par les anges.”
Mireille RossiLa parenthèse des anges.


Hier soir, au théâtre du Sablier, sous le regard critique de l’assistance, Barbara s’est lancée dans un long et merveilleux monologue.
Certains connaissaient le texte, d’autres le découvraient …
La mise en scène de Prosper, la petite pointe d’accent de Barbara m’ont dans un premier temps déstabilisée. Dix minutes, oui dix minutes, ont été nécessaires pour faire taire ces premières impressions restées gravées après la lecture du livre, celles de ce petit monde que l’on se fabrique en s’appropriant le texte.
Puis, je me suis glissée, dans l’univers que m’offrait Barbara, merveilleuse Barbara, que de légèreté, d’insouciance, de fraîcheur.
La profondeur du sujet, la poésie des mots ont pris une autre couleur, une autre lumière. Un pied de nez à la vie, le souffle d’un ange...

Corinne

Mise en scène : Prosper DISS et interprétation de Barbara BAËR.
vendredi 12 octobre 14 h et 20 h 30 - samedi 13 octobre 20 h 30
jeudi 18 octobre 14 h et 19 h 30 - samedi 20 octobre 20 h 30
jeudi 25 octobre 14 h et 19 h 30 - vendredi 26 octobre 14 h et 20 h 30
Théâtre du Sablier : 37 cours Aristide Briand 84100 Orange 04 90 51 05 94

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19 septembre 2007 3 19 /09 /septembre /2007 17:49


Entre psychanalyse et neurologie : penser les traumas contemporains
Vendredi 19 octobre 2007  - Conférence Agora au lycée de l'Arc à Orange
Catherine Malabou :
Philosophe, Maître de conférences à l'Université de Paris X-Nanterre. Principaux ouvrages : La Contre-allée, avec Jacques Derrida (La Quinzaine Littéraire/Louis Vuitton, 1999), L'avenir de Hegel : plasticité, temporalité, dialectique (Vrin, 2000), Le change Heidegger : du fantastique en philosophie (Léo Scheer, 2004), Que faire de notre cerveau ? (Bayard, 2004), La plasticité au soir de l'écriture : dialectique, destruction, déconstruction (Léo Scheer, 2005), Les Nouveaux blessés : Freud et la neurologie contemporaine (Bayard Centurion,  septembre 2007)


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11 septembre 2007 2 11 /09 /septembre /2007 17:59
Nous sommes aux regrets de vous signaler que les auteurs de la maison d’éditions Elan Sud ont été oublié dans le communiqué ci-dessous.  Vous devez donc ajouter :
Bruno Alberro (De l’autre Côté), Dominique Lin (Toca Leòn!), André Raoux-Granier (les Oliviers de la Parisienne) et notre petit dernier Philippe Hubert (Humanum est…).
 Non MAIS !! Pas toujours les mêmes !!!

15 sélectionnés forment la première liste du Goncourt 2007 rendue publique ce midi. Gallimard domine chez les éditeurs et près de la moitié des auteurs sont des femmes.
 Pour désigner le successeur de Jonathan Littell, l'Académie Goncourt a publié mardi midi sa première sélection pour son prix, qui doit être attribué le lundi 5 novembre.
Olivier Adam : A l'abri de rien (Ed. de l'Olivier)
 Pierre Assouline : Le portrait (Gallimard)
 Philippe Claudel : Le rapport de Brodeck (Stock)
 Marie Darrieussecq : Tom est mort (P.O.L)
 Vincent Delecroix : La chaussure sur le toit (Gallimard)
 Delphine de Vigan : No et moi (Lattès)
 Michèle Lesbre : Le canapé rouge (S. Wespieser éditeur)
 Clara Dupont-Monod : La passion selon Juette (Grasset)
 Yannick Haenel : Cercle (Gallimard)
 Gilles Leroy : Alabama song (Mercure de France)
 Amélie Nothomb : Ni d'Eve ni d'Adam (Albin Michel)
 Olivier Poivre d'Arvor, Patrick Poivre d'Arvor : J'ai tant rêvé de toi (Albin Michel)
 Grégoire Polet : "Leurs vies éclatantes" (Gallimard)
 Lydie Salvayre : Portrait de l'écrivain en animal domestique (Seuil)
 Olivia Rosenthal : "On n'est pas là pour disparaître" (Verticales)

PUBLIE LE 11/09/2007 par vt, afp

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6 septembre 2007 4 06 /09 /septembre /2007 16:20

Dans le cadre des manifestations nationales en hommage à René Char,
les médiathèques intercommunales vous invitent le mardi 18 septembre 2007 à 20 heures
auditorium de la médiathèque La Durance à une rencontre – lecture
« en compagnie de René Char » par Jean-Pierre Siméon, poète  directeur du Printemps des Poètes
rencontre organisée en partenariat avec
lezarda.jpg

 la Librairie Le Lézard Amoureux . Cavaillon
renseignements et réservation : 04 90 76 21 48
autre rencontre le 25 septembre à la Librairie Le Lézard Amoureux

                                        avec Marie-Claude Char autour de son livre « Au Pays de René Char »

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30 août 2007 4 30 /08 /août /2007 11:08
Le syndicat des commerçants des marchés de Provence Vaucluse et limitrophe organise une soirée solidarité
  "LES COPAINS D’ABORD"
JEUDI 6 SEPTEMBRE 2007
 A 20 h 45 Salle des Fêtes de Sorgues
Causerie Brassens proposée par Georges BOULARD,
Président de l’Association LES AMIS DE GEORGES BRASSENS DE VAISON-la-ROMAINE

et pour l’accompagner en chansons :
Georges SALARD
Jean-Marc DUCHEMIN


"Pour que les parents d’Anthony, hospitalisé à Marseille, puissent rester auprès de lui,
 Afin de l’aider à guérir plus rapidement"

PARTICIPATION DE SOUTIEN : 10 €URO PAR PERSONNE

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